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Dominique Jean Larrey (1766-1842)

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« Je salue l'honneur et la loyauté qui passent » (Wellington, Waterloo, 1815)

 

Par Xavier Riaud

« Je salue l'honneur et la loyauté qui passent » (Wellington, Waterloo, 1815)

 

La « Providence du soldat », surnom qu’il reçoit en Egypte, naît à Beaudéan, le 7 juillet 1766. A 14 ans, son père venant de décéder et sur la recommandation de l’abbé Grasset qui l’a pris en charge, il quitte le domicile familial, et rejoint son oncle Alexis, chirurgien en chef de l’hôpital la Grave de Toulouse, qui lui enseigne la médecine pendant 6 ans, après avoir suivi une scolarité au collège de l’Esquille des Frères de la doctrine chrétienne (Vayre & Ferrandis, 2004). En 1785, il obtient le premier prix de la Société Saint-Joseph de la Grave et est désigné « professeur-élève » (Gourdol, 2010). Au concours d’aide-major, en 1786, il arrive majeur de sa promotion. Il soutient aussi cette année-là, une thèse sur La carie des os. Il reçoit la médaille de vermeil de la cité de Toulouse (Vayre & Ferrandis, 2004). Il gagne la capitale et suit les cours de Dessault à l’Hôtel-Dieu. En 1787, il intègre l’école navale de Brest, puis embarque sur la Vigilante, après avoir obtenu un concours de chirurgien major dans la marine royale, où il a été classé premier. De retour d’un voyage jusqu’à Terre Neuve, l’équipage est au complet. Il apprend à y travailler vite et bien, dans un local exigu. Sujet au mal de mer, il demande son licenciement de la marine (Vayre & Ferrandis, 2004). De nouveau à Paris, il suit une fois de plus les cours de Dessault et de Sabatier, ce qui l’amène à être reçu premier au concours d’aide-major de l’hôpital des Invalides en 1789. Il est écarté du poste au profit d’un autre qui avait les faveurs du gouverneur. C’est à cette époque qu’il devient très ami avec Corvisart et Bichat. En 1789, il participe à la prise de la Bastille avec les étudiants de l’école de chirurgie. En 1791, devenu chirurgien, il s’occupe de soulager les blessés du Champ-de-Mars. En 1792, il rejoint l’armée du Rhin au grade de chirurgien aide-major, où, dans un premier temps sous les ordres de Percy, il parvient, par son courage, à occuper des fonctions similaires aux siennes (Dupont, 1999). En 1792, à la bataille de Spire, véritable baptême du feu, il applique sur le terrain, les préceptes de la chirurgie navale ( http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). Il réalise d’ailleurs sous le regard attentif de Coste, Sabatier et Parmentier, trois inspecteurs généraux du service de santé, une désarticulation de l’épaule sur l’un de ses blessés (Lemaire, 1992 & 2003). Pendant les périodes de repos, il transmet son savoir à d’autres médecins. Ainsi, créée-t-il un cours de perfectionnement à Mayence en 1793 (Meylemans, 2010). Il milite activement pour que le médecin se porte au devant du blessé. Sa conviction est profonde au point qu’il créée un corps de brancardier et d’ambulancier, mais aussi, l’ambulance volante à cheval qui sillonnent les champs de bataille dans toute l’Europe à partir de 1797, puisqu’il l’instaure pendant la campagne d’Italie. Larrey en revendique la paternité (Lemaire, 1992 & 2003).

En 1794, il est promu au rang de chirurgien en chef de l’armée de Corse stationnée à Toulon. Cette même année, son projet d’ambulances volantes est approuvé par le conseil de santé (Vayre & Ferrandis, 2004). De retour à Paris, il doit en partir précipitamment pour éviter une possible arrestation. Il rejoint Toulon et c’est dans cette ville qu’il rencontre pour la première fois Bonaparte.

En 1795, il devient professeur à l’école de santé du Val-de-Grâce où il enseigne l’anatomie et la médecine opératoire (Gourdol (2010) affirme qu’il s’agit d’anatomie et de chirurgie militaire et qu’il est le premier nommé à cette nouvelle chaire), sous les ordres de Coste qui la dirige. Il devient aussi chirurgien en chef de l’hôpital du Gros-Caillou et des Invalides (Dupont, 1999). De 1796 à 1797, il est présent à tous les combats de la campagne d’Italie. Napoléon salue chaleureusement son dévouement et surtout, l’esprit d’organisation que le médecin a insufflé au service de santé.

Lorsque Bonaparte part pour l’Egypte en 1798, il prend le poste de chirurgien en chef du contingent militaire en partance. Pourtant, à la création de l’Institut d’Egypte, Larrey n’y siège pas. Les médecins de la section de physique et de science naturelle débattent, cherchent et émettent des mémoires faisant la synthèse de leurs trouvailles. Les sujets portent notamment sur l’hygiène, l’alimentation ou les épidémies. Ainsi, en est-il de Larrey qui publie plusieurs traités qui établissent sa réputation scientifique jusqu’en France où ses travaux sont reconnus (Marchioni, 2003).

Larrey créée une école pour les jeunes chirurgiens de l’armée. Il combat le tétanos et la peste lors de l’expédition en Syrie. Il comprend alors toute l’importance de l’hygiène des troupes (Vayre & Ferrandis, 2004). Il réforme son ambulance volante. Les blessés sont donc évacués à dos de chameau. Au départ de Bonaparte, il décide de rester avec Kléber pour soigner ses malades et ses blessés (Dupont, 1999).

Larrey est élu au sein de l’Institut, le 4 juillet 1799, dans la section de physique. Dans la même année, il publie son mémoire de 38 pages intitulé Mémoire sur le tétanos traumatique consécutif à l’observation des blessures engendrées par les projectiles turcs, qui fait grand bruit. En 1798, sans en être membre, il avait fait paraître son Mémoire sur l’ophtalmie endémique en Egypte qui avait déjà été consacré (Marchioni, 2003). En 1800, c’est autour du Mémoire sur la fièvre jaune, considérée comme complication des plaies d’arme à feu de paraître. Suivent de hepatitis et L’atrophie des testicules. En 1801, il autopsie le corps de l’assassin de Kléber, l’embaume et le fait exposer au Musée d’histoire naturelle (Marchioni, 2003). Il aurait embaumé le corps de Kléber également. A Canopée, Larrey ramène un blessé sur ses épaules jusqu’à l’ambulance, ce qui sidère tout le monde (Vayre & Ferrandis, 2004). Lors de la reddition, Menou parvient à négocier avec les Anglais, la conservation des archives, mémoires et collections amassées en Egypte, qu’il ramène en France (Beaucour, 1970). Larrey, notamment, conserve ses notes qu’il destine à publications dès son retour en France et ses collections de crânes, et de momies (Marchioni, 2003). A son retour d’Egypte, Larrey fait connaître un mémoire sur l’Ophtalmie endémique. Il rencontre le futur Napoléon, en mars 1802. Il lui présente sa Relation chirurgicale de l’expédition d’Orient qu’ému, le Premier Consul reçoit et transmet aussitôt à son secrétaire en lui ordonnant de le publier dans la Description d’Egypte (Marchioni, 2003). Dans cet ouvrage, il publie aussi en 1809, un « Mémoires et observations sur plusieurs maladies qui ont affecté les troupes de l’armée française pendant l’expédition d’Egypte et de Syrie et qui sont endémiques dans ces deux contrées » (Etat moderne, tome 1, pp. 427-524), et en 1812, une « Notice sur la conformation physique des Egyptiens et des différentes races qui existent en Egypte, suivie de quelques réflexions sur l’embaumement des momies » (Etat moderne, tome 2, pp. 1-6) (Viel & Fournier, 1999).

En 1800, il officie en tant que chirurgien de la garde consulaire et de l’hôpital de la Garde. En 1803, il soutient aussi sa thèse de médecine qui porte le titre : « Amputation des membres à la suite des coups de feu (http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). » Il devient le premier docteur en chirurgie (Vayre & Ferrandis, 2004).

En 1804, nouvelle promotion. Il est chirurgien en chef de la Garde impériale. Il opère en première ligne, au front, quelque soit le temps. Il est omniprésent (Dupont, 1999 ; Meylemans, 2010). En 1804, il est fait officier de la Légion d’honneur par le futur Napoléon et est décoré en l’église des Invalides (Vayre & Ferrandis, 2004).

En 1805, à Ulm, Echingen et Austerlitz, tous les blessés sont opérés sur le terrain. Les ambulances volantes sont d’une efficacité exceptionnelle. Cette même année, il devient inspecteur général du service de santé (Gourdol, 2010).

En 1806, à Iéna, Larrey instaure la sélection des blessés en fonction de la gravité de leur état, mais mis en réserve avec la Garde impériale, il ne participe pas au combat pour la seule et unique fois de l’épopée napoléonienne (Vayre & Ferrandis, 2004).

Cette année-là, il préside à la Société de médecine de Paris dont il est membre depuis sa fondation en 1796 (Vayre & Ferrandis, 2004 ; Gourdol, 2010).

En 1807, à Eylau, il effectue 800 amputations en trois jours ( http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). Il est élevé au rang de commandeur de la Légion d’honneur. Napoléon lui remet ses insignes et son épée personnelle, directement sur le champ de bataille. En 1807, de retour à Paris, Larrey reprend ses fonctions de chirurgien en chef de l’hôpital de la Garde. Arrivé en 1808, sur le sol espagnol, il demande, à Valladolid, la création d’un hôpital pour l’ennemi, ce qui constitue une première (Gourdol, 2010). En mars 1809, il doit s’aliter et de fait, rentre à Paris (Vayre & Ferrandis, 2004). En 1809, à Essling, il ampute le général Lannes qui décède 8 jours après. A Wagram, il opère 1 200 blessés et pratique 300 amputations. 45 seulement décèdent. Napoléon en fait un baron d’Empire et lui attribue une rente annuelle de 5 000 francs (Vayre & Ferrandis, 2004). Il utilise le froid pour anesthésier ses patients et entreprend de les évacuer aussitôt que possible pour éviter les infections de leurs plaies. Il écrit à sa femme cette année-là : « Plus de 10 000 blessés sont passés dans nos ambulances, j’ai mis cinq jours et cinq nuits à opérer et à faire les pansements d’urgence… (Lemaire, 1992 & 2003)»

Le 12 février 1812, il succède à Heurteloup au poste de chirurgien en chef de la Grande Armée. Il brille particulièrement lors de la campagne de Russie. Il ampute 200 hommes en un jour, lors de la bataille de la Moskova, dont une en moins de deux minutes. Pendant toute la durée de la campagne, il tient un journal d’une précision extrême (Dupont, 1999). A Moscou, pourtant, Napoléon lui reproche de ne pas avoir su« administrer sa partie (Lemaire, 1992 & 2003). » Après le passage épique de la Bérézina, Larrey rejoint Konigsberg, le 21 décembre. Il est atteint de typhus. Grâce aux soins d’un bon médecin,

Alors qu’une place se libère à l’Institut, il choisit de laisser Percy y être élu à sa place. Il intervient personnellement auprès du tsar Alexandre I er pour qu’il rende sa liberté à Desgenettes en 1813, après qu’il ait été capturé. En 1813, il parvient à sauver 2 632 jeunes soldats, nouvelles recrues, du peloton d’exécution ordonné par l’Empereur lui-même, alors qu’ils sont convaincus de blessures volontaires, ceci à Lützen et à Bautzen où il réalise là, ce qui est considéré comme la première expertise médico-légale (http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). Larrey démontre au sein d’un jury de chirurgiens et d’officiers supérieurs, avec une telle conviction qu’il s’agit de blessures involontaires par manque d’expérience, que Napoléon accepte de revenir sur sa décision (Vayre & Ferrandis, 2004). De mauvaise humeur, malgré tout, l’Empereur lui donne l’accolade à l’issue de cette affaire.

Lorsque Napoléon abdique, Larrey décide de l’accompagner en exil, mais l’Empereur refuse estimant qu’il sera plus utile auprès des soldats de la Garde (Vayre & Ferrandis, 2004). Lorsque Napoléon revient en France, après d’être échappé, Larrey l’attend fidèlement. Pourtant, c’est Percy qu’il nomme au poste de chirurgien en chef de la Grande Armée (Marchioni, 2003).

Au cours de la bataille de Waterloo, alors qu’il est au feu à récupérer et soulager les blessés, Wellington l’aperçoit, et fait en sorte que la zone où le chirurgien se trouve ne soit plus menacée par les tirs de ses hommes. Blessé et capturé, il est à deux doigts d’être exécuté, mais reconnu, Blücher, reconnaissant que Larrey ait sauvé son fils en 1813, le raccompagne à Louvain (Dupont, 1999). Après une inspection des hôpitaux de Bruxelles, il gagne Paris qu’il rejoint le 15 septembre 1815 (Vayre & Ferrandis, 2004).

Sous la Restauration, il devient chirurgien de la Garde royale après avoir été tout de même quelque peu inquiété ( http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). En 1815, il est question de le déchoir de son poste hospitalier, ce qui constitue une mesure très grave. Il rédige un rapport faisant le bilan de sa carrière qui est remis à la Commission d’examen qui doit statuer sur son sort (Marchioni, 2003). Il est lavé de tout soupçon et maintenu dans ses fonctions, le 27 novembre 1815. Toutefois, il ne perçoit qu’une demi-solde. Il ne recouvre l’intégralité de sa pension qu’en 1818 (Marchioni, 2003). Il est élu à l’Académie de médecine, à sa création, en 1820, à l’Académie des sciences en 1829, 25 ans après sa première candidature, où il succède à Pelletan (Lemaire, 1992 & 2003).

De 1826 à 1836, il est professeur à l’Ecole militaire du Val-de-Grâce (Meylemans, 2010 ; Gourdol, 2010).

Lors de la révolution de 1830, il est encore chirurgien en chef de l’hôpital du Gros-Caillou. Il soigne les blessés des émeutes de juillet 1830. Il s’interpose et refuse de livrer ses patients (Vayre & Ferrandis, 2004).

Il est promu chirurgien en chef de l’hôtel royal des Invalides en 1831, après avoir réintégré sur ordre de Louis-Philippe, le Conseil de santé (Vayre & Ferrandis, 2004). En 1832, il structure le service de santé belge, à la demande du roi des Belges. En 1835, il lutte contre le choléra lors de l’épidémie qui prolifère à Marseille. Devenu autoritaire, impatient et intolérant, il est missionné à l’étranger pour l’éloigner, puis mis à la retraite en 1838 (Vayre & Ferrandis, 2004). Il en conçoit une profonde amertume. Il n’exerce plus alors qu’en privé (Meylemans, 2010). Affublé de son uniforme de Wagram, il est enfin évidemment présent lorsque les cendres de Napoléon sont rapatriées en France, en 1840.

Le 25 juillet 1842, il décède à Lyon, alors qu’il revient d’une tournée d’inspection harassante des hôpitaux d’Algérie. Sa femme était morte quelques jours auparavant sans qu’il le sache. Le 8 août 1850, est inaugurée au Val-de-Grâce, uns statue de Dominique Larrey sculptée par David d’Angers (Vayre & Ferrandis, 2004). Une autre a été érigée à l’Académie nationale de médecine en 1856. Une troisième enfin existe à Tarbes. Ses cendres ont été transférées du Père-Lachaise aux Invalides en 1993 selon Dupont (1999), en 1992, selon Gourdol (2010). Son nom figure sur la 30 ème colonne pilier sud de l’Arc de Triomphe (Meylemans, 2010 ; Gourdol, 2010).

Il a été présent lors de toutes les campagnes de la Grande Armée : soit 25 campagnes, 200 affrontements, 40 batailles, 6 fois blessés au feu (Marchioni, 2003).

Humaniste confirmé, il ne compte pas son temps et n’économise jamais son énergie au service des blessés, qu’ils soient amis ou ennemis d’ailleurs, peu lui importe. Napoléon le porte au plus haut dans son cœur et dans son estime. Il dit de lui, à Sainte-Hélène, avant de mourir, dans son testament où il lui lègue notamment la somme de 100 000 francs : « C’est l’homme le plus vertueux que j’aie connu. Il a laissé dans mon esprit l’idée du véritable homme de bien (Lemaire, 1992 & 2003 ; http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date). » A Essling (1809), il n’hésite pas un seul instant à faire tuer ses propres chevaux pour en faire du bouillon qu’il donne à ses patients (Dupont, 1999).

Il n’a jamais été, à son grand regret, professeur à la Faculté de médecine de Paris, car, semble-t-il, Desgenettes et Percy ont fait en sorte de rendre ce pieux rêve inaccessible (Lemaire, 1992 & 2003). Il a postulé à 5 reprises pour des chaires diverses, mais ses candidatures ont toutes été rejetées. Il a essayé de créer deux écoles de chirurgie, une à Madrid et une à Varsovie. Les deux projets ont malheureusement avorté (Lemaire, 1992 & 2003).

Les soldats de la Grande Armée le vénèrent. Alors sur le point de mourir, ils le sauvent au passage de la Bérézina, l’accueillent aux bivouacs, le réchauffent et le nourrissent.

Larrey n’hésite pas à faire acte d’héroïsme. Comme en 1814, à la ferme d’Heurtebise où une ambulance sans protection est menacée par les cosaques, le médecin charge sabre au clair pour sauver 200 blessés (Vayre & Ferrandis, 2004).

Sa pratique de l’amputation lui a permis de sauver plus de 75 % de ses blessés, mais surtout a évité la propagation du tétanos ( http://www.cheminsdememoire.gouv.fr, sans date).

Il s’est toujours insurger contre la corruption chez les commissaires et au sein de l’administration du service de santé. Il n’hésitait pas à aller réveiller des généraux, la nuit pour obtenir des fournitures et était craint parce qu’il ne faisait la cour à personne. Tout le monde savait que, s’il n’obtenait pas ce qu’il voulait, c'est-à-dire le mieux pour ses blessés, il irait tout droit chez l’Empereur pour faire valoir ses récriminations (Vayre & Ferrandis, 2004).

Dès l’âge de 19 ans, il avait été initié à la franc-maçonnerie (Vayre & Ferrandis, 2004 ; Gourdol, 2010).

 

Références bibliographiques  :

Beaucour Fernand, « L’Institut d’Egypte et ses travaux », in Souvenir napoléonien,http://www.napoleon.org, 1970, n° 255, pp. 11-13.

BIUM, communication personnelle, Paris, 2010.

Dupont Michel, Dictionnaire historique des Médecins dans et hors de la Médecine, Larousse (éd.), Paris, 1999.

Gourdol Jean-Yves, « Baron Dominique Larrey (1766-1842), chirurgien militaire français, baron d’Empire  », in http://www.medarus.org , 2010, pp. 1-16.

http://www.cheminsdememoire.gouv.fr , Dominique Larrey (1766-1842), sans date, p. 1.

Lemaire Jean-François, Napoléon et la médecine, François Bourin (éd.), Paris, 1992.

Lemaire Jean-François, La médecine napoléonienne, Nouveau Monde/Fondation Napoléon (éd.), Paris, 2003.

Marchioni J., Place à Monsieur Larrey, chirurgien de la Garde impériale, Actes Sud (éd.), Arles, 2003.

Meylemans R., « Les grands noms de l’Empire », in Ambulance 1809 de la Garde impériale,http://ambulance1809-gardeimperiale.ibelgique.com, 2010, pp. 1-22.

Vayre P. & Ferrandis J. J., « Dominique Larrey (1766-1842), chirurgien militaire, baron d’Empire. Des misères des batailles aux ors des palais. », in e-mémoires de l’Académie nationale de chirurgie, 2004, 3 (1) : 37-46.

Viel Claude & Fournier Josette, « Voici deux cents ans : les pharmaciens et l’expédition d’Egypte », in Revue d’histoire de la pharmacie, 1999 ; 322 : 265-267.

 

 

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